En Tasmanie, au Japon et en Australie, la déréglementation de certains organismes génétiquement modifiés est un problème. Les autorités de ces trois pays soutiennent que les produits des nouvelles méthodes de génie génétique (SDN-1) ne se distinguent pas d'organismes qui ont mutés de manière naturelle. GMWatch contredit cette évaluation. Si les compagnies de biotechnologie étaient obligées de fournir les séquences d'ADN complètes de leurs produits, ils seraient alors identifiables. En cas de déréglementation, les consommateurs courent le risque de consommer sans le savoir des aliments génétiquement modifiés. (Examiner, 3.9. 19 / Slowfood, 9.9.19 / GMWatch 24.9.19)
Source: Examiner, 3.9. 19 / Slowfood, 9.9.19 / GmWatch 24.9.19